Et voilà, le GP de France est terminé !
Je me demande ce qui fait le plus mal entre mon coup de soleil monstrueux en pleine face ou le coup au moral qu’à encore pris Antonio Cairoli face à Jeffrey Herlings.
Tu veux que je te parle des courses ?
Top le samedi, une belle piste qui donne envie de rouler.
Des dépassements, des whips, des 125 aux rupteurs.
Je reste sur ma faim le dimanche avec une piste rendue mono-trajectoire par les pluies du soir.
Tu veux que je te parle des paddocks ?
Ça brille, c’est beau, c’est propre.
Tellement que tu pourrais manger dans les caisses à outils de l’atelier.
Le GP de France est une belle vitrine et tous savent en profiter.
Tu veux que je te parle du camping ?
Plusieurs discothèques ambulantes, des tronçonneuses aux rupteurs, des moteurs cassés, des mecs qui dansent sur les toits des camions en se mettant des fumigènes entre les jambes…
Un regroupement de gens qui doivent être experts comptable ou employés d’usine dans la vraie vie et qui se transforment en animaux à cette occasion.
L’ambiance est énorme mais si tu es venu là pour te reposer tu es tombé au mauvais endroit.
Tu veux que je te parle du temps ?
Ils avaient annoncé énormément de pluie avec un orage de folie.
Quand tu entends ça tu es certainement comme moi, tu te dis que tu vas être plus malin que tout le monde et privilégier le K-way à la crème solaire.
Il reste plus qu’à passer une soirée Biafine.
Et toi tu étais là ? Tu en as pensé quoi ?
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